Le terrain de
jeu favori de Doisneau est sans aucun doute l'espace urbain, et plus particulièrement
celui de la capitale, dont il nous fait voir de multipes facettes.
Squares, trottoirs, ruelles mal élairées et vitrines affriolantes contituaient de fameux sujets à photographier. Doisneau guettait alors l'instant magique où la réalité devient fiction.